Moi qui ne suis pas urbaine pour un sou, j'aime pourtant assez le street art, sans doute parce qu'il ajoute justement une dimension poétique qui me semble manquer cruellement à l'univers des villes. Et ce que j'aime particulièrement dans cette expression artistique c'est le fait qu'elle utilise toutes sortes de supports et de techniques, s'adaptant à tous les lieux.
Mais ce que j'aime par-dessus tout, dans l'art en général, de la chanson à la peinture ou au cinéma, c'est lorsque la démarche de l'artiste rencontre et met en valeur l'humain pour prendre toute sa dimension de passeur de message.
C'est le cas dans cette exposition éphémère de Philippe Echaroux au Quai Branly qui rend hommage à une tribu amazonienne et sensibilise à la déforestation.
A découvrir dans cet article.